Pour mieux « habiter » notre Terre, commençons par saisir la différence entre « le monde dont on vit et le monde où l’on vit ». Laurence, Gregory, Jérôme et d’autres « Terrestres » se reconnaissent dans ces paroles chères au philosophe Bruno Latour, récemment disparu. En écho, chacun à leur manière, ils participent à des expériences collectives, des descriptions de leur territoire et réfléchissent à bâtir un monde commun apte à faire face.