Cheffe-monteuse depuis 1997, elle travaille majoritairement sur des documentaires unitaires, et de temps en temps sur des courts-métrages de fiction. Comblée par son métier de monteuse elle ne passe à la réalisation que ponctuellement, attendant une forme de nécessité ou d’urgence à raconter. Elle se dit d’abord portée par l’envie de partager ses rencontres avec des gens dont les engagements la touchent : des personnes qui se battent pour les plus faibles, qui luttent pour une cause ; des hommes et des femmes qui pensent qu’on peut agir collectivement pour le bien commun.